Comment dōTERRA garantit des huiles essentielles pures ?
La pureté d’une huile essentielle est sa caractéristique la plus importante. Lorsqu’une huile essentielle est falsifiée, elle perd de son efficacité et peut même être dangereuse !
Pure, signifie trois choses :
1- elle provient de la nature et non d’une synthèse en laboratoire.
2- elle est authentique, son identité botanique, biochimique est vérifiée par des tests, confirmant ainsi sa conformité.
3- elle n’est pas diluée par des agents de remplissage ni des additifs. Elle ne contient donc ni parfums, ni colorants, ni conservateurs ajoutés ; aucun ingrédient non divulgué.
Rappelons que :
– sans tests appropriés, il est impossible de garantir la pureté d’une huile essentielle.
– les huiles essentielles pures sont donc coûteuses à produire ! Posons-nous les bonnes questions, avant …
Une entreprise peut même ignorer que les huiles essentielles qu’elle vend sont falsifiées, quand elle se fournit auprès d’un courtier – un grossiste en huiles essentielles, comme l’on se fournit en pétrole – en qui elle a confiance, et cela dépendra donc des tests de contrôle, mis en place au départ puis a posteriori.
Le protocole CPTG « Certified Pure Tested Grade » a été mis en place par dōTERRA pour aller au-delà d’un label BIO (sans pesticides, sans herbicides) variant en fonction des pays…
D’ailleurs en passant…comment gère t-on à la fois le label BIO dans des pays de production différents et les pays de distribution quand on sait déjà qu’en Europe les règles varient…
Le grade CPTG a pour but de mesurer la même chose quelque soit le lieux de production ou de distribution et prend en compte également la nature du sol d’où provient l’huile essentielle, naturellement… le Teatree ne pousse pas en Europe, mais en Australie de manière naturelle!
Chaque lot d’huile essentielle dōTERRA est soumis à des tests rigoureux pour garantir l’absence de falsification, certifiant l’absence d’additifs, d’ingrédients synthétiques ou de contaminants nocifs. De la source à votre domicile, elles sont certifiées pures, de manière durable, éthique et responsable, pour les individus, mais aussi pour l’environnement. Chaque bouteille possède un numéro unique qui peut être consulté sur le site « source to you » afin d’accéder à sa fiche de « contrôle – qualité ».
Premièrement, dōTERRA analyse attentivement la composition chimique des huiles essentielles peu de temps après la distillation. Ensuite, l’usine de production de dōTERRA effectue une série d’analyses pour s’assurer que les huiles essentielles distillées et analysées à la première étape sont bien celles qui sont arrivées à l’usine… et oui pas bête ! Enfin, une troisième analyse de la composition chimique des huiles essentielles est effectuée lors de l’embouteillage. Avant l’expédition aux consommateurs dōTERRA effectue 60 tests et en moyenne 176 analyses !
Voici quelques tests utilisés par dōTERRA pour garantir la pureté des huiles essentielles :
- Tests organoleptiques, pour détecter le degré de pureté de l’huile essentielle
- Tests microbiens, pour détecter la présence de micro-organismes inattendus, tels que des champignons, des bactéries, des virus et des moisissures
- Chromatographie en phase gazeuse, pour identifier les composés présents dans l’échantillon testé.
- Spectrométrie de masse, pour en déterminer précisemment sa composition.
- Spectroscopie infrarouge à transformée de Fourier (FTIR). pour garantir la puissance et la qualité constante d’un lot d’huile essentielle
- Tests de chiralité pour assurer de l’absence d’éléments synthétiques dans les huiles essentielles.
- Analyse isotopique, pour préciser la nature et la quantité d’isotopes présents dans un composant d’huile essentielle.
- Tests de métaux lourds, si elles sont correctement distillées, les huiles essentielles ne contiennent pas de métaux lourds.
En résumé, les questions que vous devez vous poser:
1- Qualité des plantes :
L’entreprise utilise-t-elle des plantes de haute qualité pour produire ses huiles essentielles ? Les plantes sont-elles cultivées dans de bonnes conditions et selon des pratiques agricoles appropriées ?
2- Pratiques de production : L’entreprise a-t-elle mis en place des procédures pour garantir la qualité tout au long du processus de production ? Les huiles sont-elles frelatées ou des agents de remplissage synthétiques sont-ils ajoutés pour réduire les coûts ?
3- Méthodes de test : L’entreprise teste-t-elle chaque lot ? Utilise-t-elle des tests de pointe ? Les résultats des tests sont-ils accessibles au public ?
4- Stockage et manipulation : Les produits sont-ils soigneusement traités, emballés et stockés afin d’éviter toute altération chimique due à l’exposition à la chaleur ou à la lumière ?