En découvrant dōTERRA®, nous découvrions des extraits de plantes, distillées ou pressées à froid pour quelques unes (essentiellement les agrumes).
Des extraits de leur système immunitaire, aux principes actifs puissants et connus depuis plus de 3500 ans du temps des Sumériens et des Égyptiens.
Nous avons donc rencontré une autre manière de prévenir, de se soigner, en utilisant des solutions naturelles. Mais nous n’avions pas du tout intégré que ce qui est bon pour l’Homme, le serait pour l’Animal.
En rencontrant une vétérinaire passionnée par le sujet des médecines douces pour les animaux (Sylvia Ferro), nous comprenions que ces derniers, même domestiqués (chiens, chats), étaient évidemment pourvus de sens primaires et intuitifs, très supérieurs à l’Homme.
Même en “décroissance” parfois, lorsqu’ils sont infantilisés… leur sens, l’odorat, dans le cas de l’aromathérapie reste très développé, et leur instinct fait partie intégrante de leur cerveau reptilien, ce qui généralement leur permet d’anticiper un danger et donc de savoir ce qui est bon pour eux de ce qui ne l’est pas.
Une huile essentielle (flacon fermé, tant leur sens est sensible), peut leur être présentée par exemple et leurs réactions présageront de ce qu’ils aiment, acceptent, leur aient doux et donc a priori bon pour eux. Le fameux “ne pas nuire” naturellement implanté dans leur survie, puisque pendant des milliers voire des millions d’années de modifications génétiques, le moindre faux pas menait généralement à la mort…
C’est ainsi que Sylvia utilise les huiles essentielles dōTERRA®, dans sa pratique vétérinaire au quotidien; afin d’apaiser leurs émotions, peurs ou stress, tout simplement avant de les sortir de leur cage pour les transporter sur la table d’examen dans de meilleures conditions pour la suite de la consultation.
Puis nous avons rencontré Marine Cazenave qui s’occupe d’un centre équin dans lequel les chevaux viennent en convalescence, un repos pour les sportifs, les blessés ou pour les champions internationaux … le « Capbreton (40) » des chevaux… non loin de là d’ailleurs !
Marine cherchait elle aussi des solutions naturelles pures pour accompagner ses résidents de passage.
Elle, qui croyait être allergique aux huiles essentielles. Elle a donc d’abord testé sur elle, une goutte à la fois. Les huiles essentielles dōTERRA® sont 100% pures, et Marine s’est alors rendu compte qu’elle avait été probablement allergique aux additifs souvent présents dans des “huiles essentielles” bon marché… Ce marché est encore peut réguler, les pharmaciens sont peu formés (dixit), sans parler des “huiles essentielles” que l’on trouve dans les grands magasins ou autres grandes enseignes…
Elle a alors pressenti, que ce qui était bon pour elle, le serait pour les chevaux qui lui sont confiés. Elle prie le « pari » qu’ils choisiraient, et que leur instinct ne saurait les tromper. C’est donc flacons fermés, qu’ils ont fait leur choix et les résultats sur l’humeur (stress, anxiété) furent rapides, notamment avec l’huile essentielle de Copaïba. (c.f vidéos)
A présent elle utilise tout un panel d’huiles essentielle ou de synergies dōTERRA® pour le bien-être au quotidien de ses convalescents.
Approche qu’elle partage volontiers, en webinaire ou sur les réseaux. Un pur-sang est même venu de Dubaï pour être chouchouté dans son centre du sud-ouest de la France.
Notre étonnement ne s’est pas arrêté là… alors que nous diffusions le webinaire de Marine; nous avons échangé avec un centre de chevaux de course français qui même intéressé par une approche naturelle, ne pouvait les utiliser. En réalité tout comme pour l’Homme qui doit se rapprocher d’un médecin, les chevaux de courses auraient un intérêt évident à l’utilisation de solutions naturelles, dans leur convalescence mais aussi dans leur quotidien de sportif sous contrôle d’un professionnel de santé.
Quelques huiles douces pourraient être tolérées et passer « sous le radar des contrôles » mais le jeu n’en vaut pas la chandelle; dans ce milieu (comme d’autres d’ailleurs), il est plus simple de n’utiliser que des traitements prescrits par les vétérinaires en charge de la santé équine et connaissant parfaitement les produits autorisés et ceux interdits.
La VRAIE BONNE NOUVELLE est, que de “simples” huiles essentielles, issuent de plantes ayant poussées dans leur sol d’origine, adaptées au climat local, donc non introduites, non OGM, sans pesticides ni herbicides, peuvent être considérées comme dopantes dans les courses hippiques !
Vous l’aurez donc compris, le système immunitaires extrait des plantes est très (très) puissant, mais la nature ne peut être brevetée !
Ayant fait un peu de sport étant jeune 😉 seuls certains produit étaient recherchés dans les urines, et l’usage de produits dopants, telle que la Ventoline, était tolérés, si prescrit par le médecin traitant ou du club… quand d’autres produits interdits en France étaient tolérés ailleurs (créatine par exemple).
Bien sûr les choses changent, les règlements évoluent, mais jusqu’où va le serment d’Hippocrate quand les enjeux financiers prennent le pas ? L’Homme face à ses travers… l’un ne dérogera pas à la règle, mais d’aucuns n’est parfait !
A très vite et surtout… prenez soin de vous!
PS: Il serait intéressant à présent de trouver un sportif de haut niveau utilisant des solutions naturelles, des huiles essentielles depuis quelques années et connaitre son approche versus les règlements dans sa discipline… à bons entendeurs !
